Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
1 janvier 2011 6 01 /01 /janvier /2011 16:55

Banlieue-nord---Illustration-pour-Manset---Matrice---Le-car.jpg

 

Lettrine---O-OurGang--.jpgn passe au pied d'une grande cheminée de brique et de pierre. La pluie, la neige se sont mises à tomber sur les manteaux d'hiver. Plus moyen de voir autre chose que la misère dans cette ville de bazar et de parkings déserts ; les enfants des îles qui dansent sous la lumière, sous la grande lumière où reviennent traîner le long des épaves, les chevelures sans foulard des filles grandies trop tard qui s'endormaient sur le sol, dans les caves, les entresols, revivant toujours l'histoire apprise par les gamins du square. Mon Dieu !  Montrez-vous quand même, le jour des communions, des baptêmes. Bénissez les robes blanches que les souillures un jour balayeront comme une avalanche.

On passe au pied d'une grande tour carrée avec ses miradors. La pluie, la neige, la sciure sur le pavé : on y pense encore. C'est là qu'on a vécu et, de toutes manières, les enfants des îles, c’étaient tous nos frères et qu'on le veuille ou non, on ne peux plus s'en défaire sous la grande lumière des parkings déserts où reviennent, comme des chats tombés d'une gouttière, les visages tristes et sans paupières des enfants qui jettent des pierres. Mon Dieu ! Montrez-vous quand même ! Bénissez les robes blanches que les souillures un jour balayeront comme une avalanche. Et la nuit, dans les draps, la seule chose qu'on ne veut pas et qu'on craigne encore, qui nous glace d'effroi, c'est banlieue nord. On a beau tout faire, quand on remue la terre : ça bouge encore. C'était banlieue nord et ça saigne encore.

 

Manset - Banlieue nord - Matrice

 

1 janvier 2011 6 01 /01 /janvier /2011 11:58

 

Profil Nini plus ORION 

 

Lettrine (OurGang P Nini)hotoshop ? Pouvez pas savoir ce que je m’amuse avec ça ! Ma version 7.0 de 2002 est antique - il y en a eu cinq plus récentes depuis - mais elle reste tout à fait suffisante pour moi, d’autant que je l’ai eue... heu... Pas chère. Avec Photoshop, je mitonne ces lettrines que le monde entier m’envie et Snounou en particulier, mais moins depuis qu’elle sait les faire. Les oeuvres détournées ? Les textes-image de JML (et les autres) ? Photoshop encore. Tiens, l’autre jour, je tombe sur le carnet de Paula sur une police italique très élégante : copie d’écran, je te me colle ça dans Photoshop, je te m’ouvre une nouvelle page dans laquelle je recopie l’extrait et je te m’odifie la police en faisant défiler la bonne centaine stockée dans l’ordi jusqu’à trouver la bonne : c’est du Lucida Sans. Les cartes de voeux de cette année ? Photoshop. Les délires graphiques à partir du profil de Nini en contre-jour ? Photoshop toujours.

 

 

Profil de Nini - composite 2

1 janvier 2011 6 01 /01 /janvier /2011 11:04

 

 

Carte de voeux 2011 (assemblage des tirages) Le carnet de J

 

 

 

 Lettrine (C OugGang carte de voeux 99) Le carnet de Jimidi

 

 

ette année - ce tout début d’année même - devrait voir refleurir une tradition tombée ici en désuétude : la vraie bonne carte de voeux en vrai bon papier sous enveloppe timbrée. Parce que la carte en pièce jointe transmise d’un clic aux proches, oui, bon, c’est bien, mais ça ne fait pas tout. Idem pour celle affichée sur ce carnet, visible par la Terre entière et lue par vous autre, poignée de lecteurs dont une n’existe même pas vraiment (de Tour), c’est bien aussi, mais ça ne fait pas le reste.

 

Pourtant, pendant des années, je me suis creusé le ciboulot pour concevoir et réaliser des cartes persos. Il y avait eu ce faux billet de train proposant à ses destinataires d’embarquer sans retour pour un long trajet de bonheur, de santé et tout... Il y avait eu... Oui ! ces cartes dont j’espérais qu’elles pussent être gardées, réalisées en collage et figurant des paysages de montagne et de brume... Puis il y a eu la dernière, méritant de figurer en bonne place dans la liste de mes bides. Tiens ? Internet n’est peut-être pas la seule cause de cette chute dans la désuétude... L’idée en était un chouia trop compliquée peut-être. Plutôt que d’envoyer « en étoile » des cartes à mes correspondants, j’avais imaginé qu’une même carte pourrait circuler entre eux. La carte elle-même se présentait sous la forme d’une grande feuille de papier, pliée façon carte Michelin, sur laquelle chacun pouvait inscrire ses voeux, puis les envoyer à quelqu’un d’autre, les voeux s’ajoutant alors et le dernier me renvoyant le tout après un tour du monde et demi. Ah, tu vois : tu n’y a rien compris.

 

Tu ne dois pas être le ou la seul-e puisque cette carte ne m’est jamais revenue, mon frère Pierre l’ayant bloquée : « Gnnn ? J’ai pas compris ce qu’il fallait en faire. » Grommela-t-il pour sa défense. Autant dire que si LUI n’avait pas capté, cette carte n’avait aucune chance d’aller bien loin. Ceci dit, si quelques uns parmi vous sont près à re-tenter l’expérience, je ne demande que ça.

 

Carte de voeux 1999 (assemblage)

31 décembre 2010 5 31 /12 /décembre /2010 23:57

 

 

 

Carte-de-voeux-2011-b-copie.jpg

 

Passez tous une très bonne année !

29 décembre 2010 3 29 /12 /décembre /2010 21:54

 

Clare-Mc-Gibbon---1.jpg

 

 

 

Lettrine--A-OurGang--Clare-McGibbon.jpg

lors là, plus discrète de Clare McGibbon, on fait difficilement. Ou alors j’ai raté un embranchement ? Je ne suis même pas sûr qu’il s’agisse d’une photographe femme ! Certes, elle a un site, présentant ses photos, sur lequel vous trouverez son adresse et... rien d’autre. Je croyais être arrivé chez elle par Netkulture, qui fait office pour moi de gare centrale, on le sait, mais non. Ou alors elle a déjà disparu de là-bas. Mystère total.

 

J’ai été très accroché par cette photo de gobelets plastiques plus ou moins enfouis dans un éclairage sépulcrale et ce qui pourrait bien être le sable d’une plage, les vagues n’ayant laissé qu’une surface lisse et quasi unie, évoquant le macadam. Cette idée d’épave ordinaire donne accès sur le site a une première série de photos, des objets oubliés sur la route au milieu de paysages superbes, possiblement lancés par la fenêtre d’une voiture, à la suite d’on ne sait quel épisode d’on ne saura pas non plus quelle histoire. De là, on passera assez facilement à la série suivante, des bagages abandonnés dehors, dans des environnements très urbains. J’aime moins. Ça ne me raconte pas grand-chose. Puis les gobelet, coincés là entre les bagages et une série de quatre portraits qui devraient ravir Cali Rezo. Le premier ou mière me disant pourquoi, gagne un exemplaire de Wan & Ted dédicacé, s’il ne l’a pas déjà et s'il habite en France métropolitaine, parce que je n'ai pas de d'emballage pré-affranchis pour l'étranger. Puis après les portraits, on retrourne chez Clare McGibbon vers une nouvelle série d’épaves urbaines, pileuses celles-là. Bof bof.

 

Clare-Mc-Gibbon---2.jpg

 

 

 

 

28 décembre 2010 2 28 /12 /décembre /2010 17:41

 

 

Lettrine (O boule de noël)

 

 

n a remis les meubles en place, mais le sapin est encore là. Reste dessous quelques cadeaux, destinés à des absents, mais auxquels on pense quand même. Règne dans l'appartement une atmosphère endormie et ce joyeux désordre de lendemain de fête. Les objets et les habitudes rejoignent petit à petit leur destination. Je suis beaucoup trop en congé pour en éprouver la moindre nostalgie. D’autant que ça a été un super Noël, recomposé, comme il se doit dans nos familles éclatées, à partir de trois autres, du 18 au 26, mais cet assemblage ayant donné un excellent cru.

 

J'aime cette heure des lendemains, où l'on peut repenser et savourer tranquillement la veille. Ce doit être mon côté ruminant. Je peux maintenant ressortir de ma poche cette idée apparue au beau milieu de la fête, mais alors mise de côté - j'avais à boire et d’autres chats à fouetter :  Noël et le mariage ont peut-être en commun de nous faire passer une journée au-dessus de notre condition.

 

Oui, je sais : voilà plutôt un sujet pour Ysengrimus et je lui offre très volontiers, enrubanné. Il faudrait bien ça de culture et de science pour ne pas naviguer comme moi à vue sur cette idée. Bah, on verra bien ce à quoi arriveront ma plume et ma cervelle barbouillée...

 

Même pour un non pratiquant comme moi, le mariage parait offrir à profusion le ban et même l’arrière ban nécessaire pour étayer l’idée que certaines fêtes nous veulent «  pour un jour, un jour seulement, un jour, un jour quelquefois, beaux, beaux et riches à la fois » pour paraphraser scandaleusement « La chanson de Jacky » de J. Brel. Mais tiens ? j'aperçois sur notre route hasardeuse un écueil à éviter. Bougez pas, je contourne : La fête, vous me direz, n'importe quelle fête, comporte nécessairement des éléments transgressifs, puisqu'elle sert aussi à ça. Le carnaval en donne le meilleur mauvais exemple en proposant comme règle du jeu de chambouler l'ordre et les conventions sociales cul par dessus tête. On y change en apparence de sexe, de condition, d'emploi, de personnage, on s'approprie l'espace public, on défile, on fout le bordel et finalement le feu au bonhomme carnaval. Bref, quand on « fait la fête » c’est bien pour sortir de l’ordinaire. Pourquoi le mariage y échapperait-il ?

 

Certes, mais nous aurons alors constaté ensemble que la fête nous entraîne volontiers en dehors de notre condition. Mais pourquoi, parmi ces ailleurs un moment accessibles, privilégier l’ailleurs particulier, l’au-dessus de la classe sociale supérieure ? Parce que la robe blanche à traîne, le château de la réception, la limousine convoyant les mariés, la virée à Venise, j’entends bien leur côté féerique et merveilleux, mais je vois surtout leur façade aristo. De ce point de vue images du monde là, le plus beau jour de notre vie serait celui où nous singeons la noblesse.

 

Bon, le mariage : c’est fait. Reste à baliser le chenal jusqu’à Noël. L’aristocratie dont j’ai rhabillé le mariage n’est qu’une image. Un film monté à partir de ce que le bon peuple imagine des fastes et des ors de la vie de château, moitié Versailles, moitié Disney. Du coup, à regarder Noël par ce bout d’une lorgnette qu’en dépit de messages subliminaux réitérés, personne ne se décide à m’offrir, qu’est ce qu’on voit ?

 

Un banquet - Le repas de Noël rassemble un nombre inaccoutumé de convives autour de mets inhabituels et coûteux. Il faudrait étudier de près les plans de table pour confirmer dans quel mesure ces derniers mettent en oeuvre des liens d’allégeance, mais en rassemblant ses membres autour d’un repas, c’est bien l’idée même de famille qu’on voudrait restaurer, cet ensemble de liens du sang et d’unions maritales ou presque. Comme s’il s’agissait de réaffirmer une fois l’an sa force, sa cohésion, en sacrifiant au rite du banquet, dont on pourrait se demander, au départ, s’il n’était pas une sorte de représentation à usage interne pour rappeler à chaque convive quelle était exactement son rang dans le partage du patrimoine. Du coup, on comprend mieux que les amis ne soient pas invités à Noël. S’il ne s’agissait que de partager la joie d’un bon repas, ils y seraient, et on irait au resto, comme au nouvel an. Mais là non : il s’agit bien d’une réunion de famille dans la grande salle du château pour partager symboliquement entre actionnaires les abondants dividendes affectifs que figurent assez bien le foie gras et la dinde aux marrons.

 

Un décor - Faire riche est bien le mot d’ordre. On sort le limoge et le baccara des grands jours et qu’importe si les plats de service sont en carton tant qu’ils sont dorés : faut que ça brille. Bougies partout, et hop, bienvenue au Moyen Âge ! Tu préfères Renaissance ou XVIIème ? Pas de problème, tant que ça reste une époque où l’on n’avait pas l’électricité, où s’éclairer d’une profusion de bougies changeait de la maigre chandelle et signait à coup sûr le grand luxe. Pour l’or, on va faire court : il signe de tous temps la richesse et le pouvoir. J’ai un peu plus de mal à faire rentrer les guirlandes, les boules et le sapin dans cette lecture gauchiste de nos agapes, mais peut-être en eux réside seulement l’idée qu’après l’hiver, la promesse de verdure, de fruits rouges et de lumière sera une nouvelle fois tenue ?  

 

Des cadeaux - Le Père Noël ne me contredira pas : certaines listes de cadeaux ressemblent à des listes de courses (ou de mariage ; mouhahaha !) On ne cherche plus seulement le petit quelque chose qui fera plaisir, Noël est également l’occasion de se cotiser pour offrir le gros truc qui manquait. Mais on est de toute façon dans un système où cheminée ou pas, tout ça tombe un peu du ciel et ne sent ni la sueur ni les larmes. En établissant un lien direct entre le vouloir et l’avoir, le cadeau de Noël nous rapproche-t-il plus de la toute puissance des enfants ou de celle des rois ? Ici, la seconde proposition m’arrangerait mieux.

 

On m’objectera - sans doute à juste titre - que Noël, c’est surtout du merveilleux, de la magie, des lumières, une trêve, du plaisir partagé en famille. Ok, ok, je suis le premier client, je vous assure ! Mais ma question demeure : comment se fait-il que l’abondance apparente et l’apparence de paix empruntent à ce point les apparences de la fortune et les signes traditionnels du pouvoir ? Comment se fait-il que nous soyons autour du 25 décembre si  fascinés par des trucs qui, à d’autres moment de l’année, nous sembleraient juste « bling-bling » et très éloigné de nos valeurs ordinaires ?  Du coup, je me demande si pour maintenir le statu quo, en plus de s’arranger pour que les pauvres se battent entre eux, il n’y aurait pas un autre moyen, annuël celui-là : nous gaver jusqu’à la nausée. Comme si d’avoir eu beaucoup trop un jour et sans devoir ni le gagner ni le mériter, devait nous retenir pour un an de revendiquer ce à quoi nous avons droit...

 

Une flûte de champagne à la main, un toast au saumon dans l’autre, mollement avachi dans un canapé, entourés des enfants et de leurs chéries, la mienne pas loin, quoique passagèrement aphone, tous impatients d’ouvrir nos cadeaux, j’étais bien loin de la lutte des classes et proche de penser que tout ça pourrait peut-être passer pour un moment idéal. Aux yeux d’un gamin peut-être...

28 décembre 2010 2 28 /12 /décembre /2010 07:25

Dans-le-salon-encore-devastee--Orion-joue-a-la-Wii-copie.jpg

27 décembre 2010 1 27 /12 /décembre /2010 16:40

 

 

Un Noël blanc et ensoleillé - Le carnet de Jimidi

27 décembre 2010 1 27 /12 /décembre /2010 15:47

 

Sous le sapin, les cadeaux - 2 - Noël 2010 - Le canet de J

 Noël 2010 - Jm Coline et Christian sur la banquette

Noel-2010---Christian-avec-sa-nouvelle-chemise-2----Le-car.jpg 

 

Lettrine (P OurGang paquet de Noël) - Le carnet de Jimidifiiuuu ! J'ai eu plein de trucs ! Maintenant c'est sûr : le Père Noël ne passe pas que pour les enfants sages ! Alors, alors : Un magnifique lecteur MP3/MP4 Archos tout mignon dans lequel je me suis empressé de stocker "Cheese", l'album de Stromae offert par je ne sais qui à Christian. Grâce à ce bijou hautement technologique, je vais pouvoir balader (puis écouter) toutes ces musiques indispensable à ma survie en milieu hostile au bureau, dès que je saurais m'en servir. Tu dis ? Ça peut prendre plusieurs semaines ? On verra. Et tu rajoutes ? Offrir un lecteur a un auteur, c'est un bon moyen d'être sûr qu'il en ait au moins un ? Mort de rire ! J'ai eu également deux albums BD, Le Chat de Gelück - toujours très bien - et On a marché sur la Lune de Hergé, qui manquait inexplicablement à la série.  J'ai également eu une nouvelle besace de travail, à porter sur le dos. Il faut dire que la précédente, très utilisée également en ballade, commençait à partir en lambeaux. Egalement un peignoir de bain tout doux, d'un bleu amusant. Egalement ce gadget étrange ressemblant à un fouet de cuisine, servant à masser la tête. Des trucs à boire aussi, il me semble... Non parce que les trucs à boire, on en a testé plusieurs en cours d'après-midi... Et dans les trucs à boire qui ne font pas mal à la tête le lendemain, deux nouveaux thés, les deux excellents, épicés et festifs. Merci à tous les généreux donnateurs anonymes ou non !

 

Noël 2010 - bleu peignoir - Le carnet de Jimidi

  

 

Pi on a regardé "Inception" également, heureusement commenté par Coline qui l'a déjà beaucoup aimé et regardé plusieurs fois, assez pour démêler les fils de cette intrigue savamment tricotée. Sinon, en guise de repas, on avait mis un grille pain en batterie et des trucs à tartiner, à entasser, à assembler puis à grignoter, en vrac sur les bancs qui nous servent de table basse, sans nappe, sans couverts, sans assiette, juste pour faire râler Mélanie. Y'avais du punch également, des huîtres, du saumon (avec de l'aneth fraîche). Tiens, je n'ai pas vu passer les escargots... Sur le coup de 23 h, on a attaqué le chapon rôti avec une salade verte et plateau de fromages à suivre. Champagne pour moi, Coca pour les autres. A deux heures du mat on y était encore, mais pas tous, vu que j'ai raccompagné Coline chez elle avec sa Crassula géante, une espèce marrante : on dirait qu'il lui pousse des haricots verts.

 

Noël 2010 - Violaine avec Wan et Ted

 

25 décembre 2010 6 25 /12 /décembre /2010 18:37

Lumieres-de-Noel-dans-les-yeux-de-Jimidi---Le-carnet-de-J.jpg

Articles RÉCents

  • Bisounours et langue de bois
    Pour l’avoir déjà dit souvent, je peux le répéter ici encore une fois : je lis tout ce qui m’arrive, quelque soit la provenance et le contenu. Les sources sont assez diverses. Classiques : je lis ce qu’on me prête, ce qu’on me donne, ce qui tombe de ma...
  • La saga de Ote - Volume II - Le dirigeable
    La nature a horreur du vide, parait-il. Ça tombe bien : moi aussi. Après avoir terminé d'écrire le premier opus de cette saga (septembre 2014-->jullet 2015), un grand vide s'est fait. Je n'avais vraiment, mais vraiment aucune idée de ce dont pourrait...
  • Vivement que tous nos logement soient accessibles...
    Vivement que tous nos logement soient accessibles aux handicapés, qu'on puisse se faire livrer les courses par des robots. Ou par des handicapés, d'ailleurs.
  • J’étais tranquillement en route pour aller chez...
    J’étais tranquillement en route pour aller chez Dut quand je me suis avisé que l’aiguille de température d’eau indiquait plus de 100° et flirtait avec la zone rouge. J’ai continué à très petite vitesse jusqu’à un endroit où m’arrêter à l’ombre, avec l’idée...
  • Louons la Vache :
    Louons la Vache : 10 novembre 1966 Jean POIRET, humoriste, chante "Une vache à mille francs", une parodie de la chanson de Jacques BREL "Une valse à mille temps".
  • Non mais, franchement...
  • Je ne m'en lasse pas :
  • "Mais puisque je vous dit que mon attestation...
    "Mais puisque je vous dit que mon attestation d'installation d'un détecteur autonome avertisseur de fumée à BRÛLÉ dans L'INCENDIE provoqué par le fonctionnement défectueux de ce putain de détecteur ! "
  • On me les a demandé : les voilà, les pigeonneaux...
    On me les a demandé : les voilà, les pigeonneaux du balcon. J'avais l'impression que les petits, quelque soit l'espèce, étaient forcément au moins aussi beaux que les parents, voire plus - surtout les miens - mais quand tu vois ce désastre... Encore,...
  • Allo ? Y'a quelqu'un là haut ? Quand je disais...
    Allo ? Y'a quelqu'un là haut ? Quand je disais "on va tous mourir !" Je PLAISANTAIS ! C'est bon ? Tu peux remettre la clim ?