ngagé jusqu’au cou dans un de ces chantiers pharaonique dont j’ai le secret, destiné à étayer une intuition dont tout le monde se fout, mais sur laquelle je reviendrai, forcément, je suis en train de lire des blogs, un peu en diagonal, hélas, mais ça ne m’empêche pas de me régaler avec certains. C’est le cas pour Billet dur, sous-titré : Carrément méchant - La (mauvaise) humeur de Christophe Conte . Comme vous pourrez le constater la forme adoptée est d’une simplicité redoutable d’efficacité : la fausse correspondance. Autrement dit, chaque billet de ce blog commence par : « Cher(s)/chère(s) X et se termine par la formule « Je ne vous embrasse pas », le rédacteur renouvelant sans cesse ses raison de ne pas le faire. Celle qui clos l’article « Chers frères Bogdanof » m’a fait éclater de rire : « Je ne vous embrasse pas, vous me faites peur ! » Comme on le comprend.